Vingt ans après la première génération, Omega dévoile une quatrième édition de sa collection emblématique Planet Ocean, alliant modernité, légèreté et avancées techniques pour perpétuer son héritage maritime tout en innovant.
Ça y est, vingt ans après avoir lancé la première Planet Ocean, Omega présente une toute nouvelle quatrième génération, qui montre une évolution vraiment notable pour cette collection emblématique de montres de plongée. La marque affirme avoir complètement repensé ses codes, avec une architecture plus épurée, un profil plus fin et des avancées techniques importantes. Tout cela, tout en conservant l’esprit audacieux et technique qui définit la Planet Ocean , une montre très liée à l’héritage maritime de la maison horlogère suisse.
Une continuité profondément ancrée dans l’histoire de la plongée
La collection Planet Ocean tire ses racines d’une grande histoire chez Omega en matière de montres de plongée. Depuis la Marine, lancée en 1932, qui fut la toute première montre conçue spécifiquement pour les plongeurs civils , oui, c’est historique , jusqu’à la Seamaster 300 de 1957, qui était destinée aux professionnels, Omega s’est imposée comme un acteur majeur dans ce domaine. La Planet Ocean, apparue en 2005, s’inscrit comme une étape très significative dans cette tradition, avec une étanchéité poussée à 600 mètres, ce qui double presque la capacité de la Seamaster Diver 300M, tout en adoptant un design qui fait référence au passé : cadrans noirs, chiffres arabes solides, aiguilles en flèche, lunette de plongée pratique , autant d’éléments qui rappellent l’esprit des premières Seamaster.
Plus de vingt ans d’innovations continues
Depuis ses débuts, la Planet Ocean a été le théâtre de plusieurs innovations techniques intéressantes. En 2009, Omega a lancé la lunette en Liquidmetal, un matériau qui allie esthétique et résistance aux rayures, une vraie prouesse en science des matériaux. Ensuite, sont arrivés des lunettes en céramique, puis un calibre 8500 avec un spiral en silicium Si14, qui offre une meilleure résistance au magnétisme. En 2014, Omega a réussi à créer la première lunette en céramique orange véritable, un vrai défi pour l’industrie horlogère. Entrant dans l’ère Master Chronometer en 2016, Omega a aussi affiné ses boîtiers, introduit l’or 18K Sedna™, et créé des bagues de lunettes combinant céramique et caoutchouc. Et puis, il y a eu la gamme Deep Black, qui utilise une céramique spécifique pour une résistance optimale en profondeur , vous savez, pour aller toujours plus loin. Plus récemment, la Ultra Deep, conçue pour une plongée record dans la fosse des Mariannes – à plus de 10 900 mètres de profondeur – a franchi des limites extrêmes, et la collection a été élargie en 2022 avec un acier spécial, l’O-MEGASTEEL.

Un redesign qui fait la différence : plus fin, plus moderne
Avec cette quatrième génération, Omega change radicalement de style visuel. Le nouveau boîtier, composé de deux pièces principales , un corps sculpté, et un anneau en titane à l’intérieur , affiche une silhouette plus élancée et plus nette. En supprimant la traditionnelle soupape à hélium, autrefois emblématique, la montre a un aspect très épuré. La taille reste à 42 mm, mais le boîtier est plus fin : il passe de 16,1 mm à seulement 13,79 mm. Le verre saphir plat et le fond en titane allègent encore la montre, tout en renforçant sa solidité. Le fond présente aussi un dessin gravé, avec la célèbre hippocampe Omega, qui est un symbole de longue tradition maritime.
Ce nouveau boîtier s’accompagne d’un bracelet revisité, parfaitement intégré à la structure de la montre. L’alternance de surfaces brossées et polies sur des maillons plats, combinée à des proportions fines, contribue à rendre le confort meilleur, avec un système micro-ajustable à six positions et une extension pour la plongée en combinaison. Ceux qui aiment un style un peu moins classique peuvent aussi opter pour un bracelet en caoutchouc avec fermoir déployant , pratique et sportif. Toutes les versions arborent un cadran noir mat, auquel sont associées des aiguilles et index en flèche, remplis de Super-LumiNova , pour une excellente visibilité sous l’eau. Et les chiffres arabes ont eux aussi été réimaginés : ils sont plus ouverts, carrés, et rappellent la structure du design original de 2005, ainsi que la nouvelle architecture du boîtier.
Sept modèles Master Chronometer, aux couleurs variées
L’orange est une couleur emblématique de la Planet Ocean depuis ses débuts. La réaliser en céramique pure, c’est un vrai défi pour l’horlogerie , et Omega y arrive cette année avec une teinte plus éclatante que jamais. Elle résulte d’un processus de fabrication en céramique très précis, qui donne un éclat neuf à plusieurs modèles. C’est une belle démonstration du savoir-faire de la marque, qui aime marier esthétique audacieuse et innovations technologiques.

Cette nouvelle génération propose sept modèles équipés du calibre Omega Co-Axial Master Chronometer 8912. Ce mouvement automatique offre une réserve de marche de 60 heures, et il répond à des normes très exigeantes de précision, de performance, et de résistance au magnétisme, certifiées par le METAS. Trois versions affichent un orange vif, sur chiffres et lunette en céramique, avec option de bracelet en acier, caoutchouc noir ou orange. Deux autres montrent un bleu profond, avec chiffres blancs et lunette bleue , disponible avec bracelet acier ou caoutchouc noir. Enfin, deux modèles monochromes noir, avec des chiffres en rhodium, sont aussi proposés, avec un bracelet acier ou caoutchouc noir, pour un style plus sobre.
Ce renouvellement de la Planet Ocean, c’est un résumé de plus de quatre-vingts années d’expertise dans la plongée horlogère, et de vingt ans d’évolution spécifique à cette collection. Plus épurée, plus légère, plus fine, mais aussi plus technique et expressive , cette montre marque un tournant. Omega célèbre son passé tout en regardant résolument vers l’avenir, équilibrant à la perfection héritage et innovation. En fait, c’est une vraie icône de la montre de plongée contemporaine, qui plaît autant aux passionnés qu’aux explorateurs modernes.

